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Prénom: Sylsan
Age: 21
Sexe: Masculin mais beaucoup hésitent encore...
Description Physique:Sylsan a une allure fine et élancée, il a un physique plutôt féminin, son visage l’est de nature, le reste l’est parce que depuis une époque de sa vie il joue sur la féminisation de son corps.
Il a les cheveux longs et méchés de bleu permanent qu'il orne quelques fois de plumes et qui rappellent son lien avec l’élément aquatique, il a toujours une plume verte a l'oreille gauche. Ses cheveux sont la chose la plus indicatrice de sa féminité ; il y tient beaucoup. Ses yeux sont d’un bleu profond déstabilisant ; son nez est fin. Il joue beaucoup avec ses lèvres pour essayer d’insister sur son physique. Ses oreilles sont longues et légèrement pointues, elles ne peuvent pas nier son appartenance à la race des lémurians, quoique certaines personnes mal renseignées croient qu’il s’agit seulement de pauvres excroissances cutanées.
Son image efféminée est entretenue par son style vestimentaire. Etant assez grand bien que de taille modeste pour un lémurian (Sylsan mesure 1 mètre 98.) et svelte ; il peut porter toutes sortes de vêtements. Il opte donc pour des vêtements près du corps de couleurs dans les tons pastels et assez fins (il ne lui est pas rare d’en déchirer). Son apparence est donc très féminine.
Sylsan se sert de s’apparence pour s’aider a croire en lui ; il est d’un mental très masculin derrière cette apparence ; il arrête de jouer la comédie dans des instants sérieux ou dans certaines situations ou il sais que cela n’est pas très utile. Il a beaucoup de manières et de mimiques qui sont devenues elles par contre plutôt naturelles. Ce physique l’aide parfois a arriver a ses fins qu’elles soient bonnes ou mauvaises, il s’en sert aussi pour cacher aux autres son vrai caractère…
Caractère:Histoire:Un jour d’été… Dans un petit bout de foret ; un incendie se déclencha. Le soleil chauffait à en crever. Ils marchaient depuis le petit matin, le prochain point d’eau était encore infiniment loin aux yeux de ces deux personnes ; un kilomètre environ. Ils retournèrent un instant pour vérifier les dégâts de ce feu, son avancée et sa distance avec eux. Plutôt proche.
C’est à ce moment qu’elle tomba de fatigue la main sur le bas du ventre, exténuée au pied d’un arbre, la mère de Sylsan. Elle est au bord de l’accouchement et un feu se déclare au fond d’une forêt isolée, la ou ils s’étaient réfugiés, les laissant en sécurité de toute présence étrangère.
Elle n’en pouvait plus, elle souffrait, tandis que le feu brûlait vers eux, Sylsan décida de naître. Sa tête libre du corps protecteur, ses parents dans la détresse ne purent qu’être émerveillés, ils savaient enfin que le feu ne le mangerai pas lui, pas leur fils ; encore fallait-il le sauver.
Il était maintenant dans le vêtement de son père, le feu a quelques mètres de là les menaçait de son orange intense.
- Dépêche toi ! Relève toi ! Nous devons courir maintenant !!Elle, maintenant a demi allongée contre l’arbre ne se leva pas. Le feu avait commencé la consumation de la coiffe végétale ou était adossé la bien aimée du père de Sylsan.
- Pars et emmène l’enfant !! Sauve le, au moins lui… et toi. Je suis trop épuisée, je ne peux plus bouger, je viens de mettre un enfant au monde, ne te soucie que de lui ! il est maintenant trop tard pour moi, je sens la chaleur étouffante me gagner.Il ne bougeait pas et lui tendait la main, l’enfant dans un bras. Il était triste, heureux et meurtri en même temps. Ses sentiments intenses se confondaient a ceux de son premier amour.
- PARS ! FUIS ! Laisse moi !Il regarda un dernier instant vers elle, avant de courir et de l’abandonner souffrante sans pouvoir agir. Il serait Sylsan contre son torse et ayant a peine parcouru 10 mètres retentit un cri d’horreur qui traversa toute la forêt. Il courrait droit devant lui sans s’arrêter.
***
Le feu cessa enfin quand une violente pluie s’abattu. La forêt était presque entièrement ravagée, il ne restait que quelques dizaines d’arbres à côté d’un petit lac. Le père de Sylsan n’avait d’autres choix d’y bâtir un nouveau domicile pour lui et son fils ; il ne pouvait pas prendre le risque de parcourir la contrée en quête d’un nouvel endroit ou aller.
Sylsan grandit ici et appris a marcher dans ce petit bout de forêt sous la surveillance paternelle toujours très attentionnée. Il grandit ensuite dans la banalité la plus profonde. Il y eu juste un jour pendant sa quatrième année d’existence qui faillit tourner au drame, il n’en su heureusement jamais rien.
- Je crois qu'il y en a un ici !!
- Un quoi ? Un lémurian ?
- Oui évidemment …
- Devons nous vraiment l’exterminer celui la aussi ?
- Je croyais qu’ils te répugnaient tout autant qu’ils me repoussent ?C’est ainsi que deux malheureux membres de la guilde des voleurs, très viles, découvrirent l’endroit où se cachaient Sylsan et son père. Ils arrivèrent et aperçurent d’abord Sylsan. Un des deux apparemment très énervé après cette découverte détruit une chaise de bois de son épée.
- Et en plus sa se reproduit, non mais on se fout de notre gueule ici ? Je vais les buter !!C’est à ce moment que le père de Sylsan alerté par la haine qui régnait dans les environs, mêlé au sentiment de peur de son fils qui ne disait rien le fit accourir là où étaient les trois autres personnes. Il vit deux hommes de lubéria, guilde des voleurs, reconnaissables à leur écusson aux deux haches croisées.
- Que nous voulez vous ? demanda le père de Sylsan furieux.
- Seulement finir le travail commencé… Finir votre extermination.- Essaie toujours …Ce jour là la maison fut ravagée, les trois combattants grièvement blessés mais le père de Sylsan les avait sauvés, il fit un dernier effort surhumain pour achever les deux brigands avant de pouvoir se rétablir doucement. Son organisme de lémurian lui permit quand même de pouvoir se remettre sur pieds à une vitesse inouïe comparé à un humain. Mais comme il lui fallait s’occuper de son fils, il du faire beaucoup d’effort attendant le rétablissement total.
***
Son nindo : Tuer est beaucoup moins cruel que de faire souffrir... Ce pourquoi je fais souffrir.
Ce qu’il aime : Faire souffrir des gens pour un plaisir personnel; prendre les initiatives en demandant au préalable l'avis des gens sans attendre de réponse. (Il fait expres de demander, ça énerve)
Ce qu’il n’aime pas : Ressentir l'amour des gens. Patienter, autant aller droit au but, on perd moins de temps.
Je m'inspire vaguement de Roland
bon j'espere que pour l'instant je ne fonce pas dans le fossé avec ce que j'ai amorcé. Si c'est trop juste en longueur dites le moi maintenant